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 La défonce, il n'y a rien de plus vrai.

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2 participants
AuteurMessage
E. Uzzìel Reeves
    Zyel ▬ sex, sex. sex, sex. and fame.

E. Uzzìel Reeves


messages : 200
date d'inscription : 15/08/2009
âge : 30
baguette magique : taillée dans du bois de roseau, elle mesure vingt-sept centimètres et demi et contient une plume de phénix.
maison ou profession : gryffondor, en septième année.
animal de compagnie : un chat aux poils noirs prénommé noctalee.

La défonce, il n'y a rien de plus vrai. Empty
MessageSujet: La défonce, il n'y a rien de plus vrai.   La défonce, il n'y a rien de plus vrai. EmptyJeu 3 Sep - 10:18

La défonce, il n'y a rien de plus vrai. 2q8t5zq
la défonce, il n'y a rien de plus vrai
CHRIS ET ZYEL

    Toutes les rentrées à Poudlard se ressemblent. En effet, ces dernières sont toujours accueillies de longues averses cédant quelques fois la place à une foudre manifestant magistralement sa colère. Cette année-là, les choses ne changèrent pas, et ce fut donc sous une torride averse que la rentrée des classes s'effectua. Tandis que les élèves âgés de onze années commençaient à être répartis, je discutai avec quelques amis, tous aussi shootés les uns que les autres. J'étais la seule personne, parmi eux, à être sobre. En même, ma drogue à moi, c'est le sexe. Et ça, ce n'est pas nocif pour la santé, surtout lorsqu'on se protège avec ce qu'on appelle des préservatifs. Les préservatifs sont mes meilleurs amis, après Christopher Wayne, alias le petit prince que tout le monde – ou presque – aimait.

    Ce mec-là, il comptait énormément à mes yeux azur écarlate. Les quatre cent cinquante coups, c'était ensemble que nous les avions faits. Cette personne avait également été la première à s'être invitée dans mon lit afin de passer à l'acte. En d'autres mots, ma virginité, je l'avais perdu avec Christopher dans le dortoir des garçons de la maison dans laquelle nous avions été répartis, soit celle des rouges. Jamais l'un sans l'autre, ce fut donc ensemble que nous nous rendîmes dehors après la répartition des nouveaux élèves qui dès demain débuteront, pour la première fois, les cours à Poudlard, l'école de sorcellerie la plus réputée. Lui et moi savions très bien qu'être dehors à cette heure-ci – vingt-trois heures à peu près – était interdit. Et nous savions également que si nous venions à nous faire prendre par un de nos trop nombreux professeurs, nous serions collés pour environ deux semaines si ce n'est plus. Mais à vrai dire, je m'en foutais et j'étais persuadé que Christopher, avec sa légère barbe de trois jours mal rasée, pensait pareil que moi. En fait, nous pensions souvent à la même chose. D'une part parce qu'on se ressemblaient énormément sur le plan caractériel, et d'autre part parce que nous étions des hommes. Et comme tout le monde le sait, tous les hommes pensent à la même chose. Je pense qu'il m'est d'ailleurs inutile d'ajouter ce qu'est cette chose.

    CHRISTOPHER – « Hé Zyel, c'est où qu'on va ? »

    Comme toujours lorsqu'on me pose cette question, j'eus envie de répondre « on va dans ton cul de dragon pour y faire la fiesta du siècle ». Mais malgré tout, je me reteins. Chris était défoncé. Ce n'était pas nouveau, et encore moins étonnant de sa part étant donné qu'il était toujours défoncé. J'imaginais déjà la mine qu'il aurait demain lors de son réveil. Ses yeux seraient rouges et cernés. Son haleine serait horrible, tout comme le reste de son corps. Et il remercierait alors les quelques nombreuses vodkas qu'il avait bu la veille, sans oublié le tabac que ses poumons contenaient. Moi aussi je buvais et fumais. Mais sûrement pas autant que mon pote qui, en cet instant même, tenait un joint entre les doigts de sa main droite. Je tenais, quant à moi, une bouteille de whisky pur feu. Dans ma poche se situait également des joints. Ils ne m'appartenaient point. En fait, ils étaient à Chris, mais défoncé comme il était, j'ai pensé qu'il était préférable que je les lui garde. Et puis, comme ça, si j'en désire un, je pourrai me servir à ma guise sans demander à mon ami sa permission.

    UZZÌEL – « Près du lac. »
    CHRISTOPHER – « Tu veux me noyer ? »
    UZZÌEL – « Ouais. Mais je veux d'abord te violer. »

    Chris et moi rîmes. Nous approchions à grands pas du lac par lequel les nouveaux élèves arrivent chaque année, et ce grâce à l'aide de plusieurs barques. La pluie qui était présente depuis quelques heures maintenant – depuis le début de la répartition des sorciers tout juste âgés de onze ans pour être totalement précis – était toujours présente. Le tonnerre était, quant à lui, parti vers d'autres cieux. Chris et moi étions donc trempés. Nos vêtements nous collaient à la peau, et nos cheveux dégoulinaient d'eau. Ma robe noire achetée sur le Chemin de Traverse protégeait tout juste mes poches qui contenaient les joints de mon meilleur ami.

    Dix minutes après, nous arrivèrent enfin au lac. Trempé jusqu'aux pieds, j'ouvris la bouteille de whisky pur feu et en bu un gorgée directement au goulot. Je buvais souvent à la bouteille, surtout lorsque je n'avais pas de verre sur moi et lorsque j'avais une flemme immense d'en prendre un. En d'autres termes, je buvais presque tout le temps à la bouteille, un peu comme mon grand frère Nathanael, âgé d'une année de plus que moi. Christopher avait également soif, et je lui tendis alors la bouteille. Tout comme moi, ce dernier buvait également bien trop souvent au goulot. Et ce, même après moi. Mais entre nous, les chichis de gonzesses n'existaient pas. Nous nous assîmes sous un arbre se situant près du lac, et je pris dans ma poche un joint bien rempli. Avec l'aide de ma baguette magique, taillée dans une bois dans du bois de Roseau et contenant un plume de Phénix, j'allumai ma feuille pleine de tabac, avant de la mettre dans la bouche. Lorsque je la retirai, de la fumée sortait de ma bouche. Je tendis alors le joint à Chris qui se jeta presque aussitôt dessus, ce qui était tout à fait normal.

    UZZÌEL – « Haha, tu me fais marrer. T'es vraiment pire qu'un toxico, mec. »
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e. christopher wayne
    Woodythe dead life && dance with me

e. christopher wayne


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date d'inscription : 27/08/2009
âge : 28
maison ou profession : Gryffondor
animal de compagnie : Un phénix

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MessageSujet: Re: La défonce, il n'y a rien de plus vrai.   La défonce, il n'y a rien de plus vrai. EmptyVen 4 Sep - 19:40

    C'était une rentrée de plus, et tristement banale. Le Poudlard Express était à présent partit de puis des heures, je ne m'amuse pas à les compter, et j'appréhendais le moment où j'allais enfiler ma robe de sorcier. A vrai dire, je n'aimais pas beaucoup ces robes. D'un vieux monotone et d'un noir sinistre, ce n'est pas le genre de vêtements que j'ai l'habitude de porter. Mais le règlement nous oblige, nous les élèves, à les mettre. La tenue vestimentaire exigée par le directeur et les professeurs de l'école de sorcellerie. Les règles ... Je n'avais pas vraiment pour habitude de les respecter. Je ne sais combien de points j'avais fait perdre à Gryffondor par mes stupides conneries. Traîner dans les couloirs la nuit, chose interdite bien évidemment mais je suis insomniaque alors je préfère me promener que de perdre mon temps à essayer de dormir dans mon lit ; me battre avec d'autres élèves, surtout des Serpentards car ils n'arrêtent pas de martyriser les plus petits qu'eux et je déteste l'humiliation, je me suis fait une réputation de 'superman', je ne sais combien de personnes j'ai 'sauvé' depuis que je suis arrivé à Poudlard, de plus, je deviens très violent quand je suis hors de moi ; ne pas rendre mes devoirs qu'il y avaient à faire, il faut dire que je ne les fait jamais, pourquoi ? parce que j'ai vraiment trop la flemme, et puis pourquoi m'en encombrer lorsque je connais tout et je réussis sans avoir à faire cela ? ; des conneries plus ou moins graves, punies par le Cracmol qui nous sert de concierge, Argus Rusard.

    Bref.

    Je discutais tranquillement avec un ami en observant et en écoutant les gouttes d'eau s'écraser sur la vitre de notre compartiment. Cet ami, il se nommait : Uzziel Reeves. Ce gars là, il était presque tout pour moi. Nous nous connaissions maintenant depuis près de sept ans, à sa première rentrée quoi. Tout ce non respect du règlement, toutes ces bêtises, c'était avec lui que je les avais commis, en tout cas, la plus grande majorité c'était à ses côtés. Mais malgré tout ces points perdus, j'en faisais aussi gagner grâce au Quidditch. J'étais batteur dans l'équipe de Gryffondor. Mais n'en parlons plus, voulez-vous ? J'enfilais ma robe de sorcier avec difficulté. A dire vrai, je n'arrivais pas à trouver le bout.

    Woody - Uzziel, j'trouve pas l'bout du truc.

    Il faut dire que j'étais loin, très loin, d'être sobre. La veille j'avais était à une soirée organisée par un ami d'un ami d'un ami. Une sorte de connaissance, quoi. Enfin bref. L'ambiance était moyenne et la musique pourrie, jusqu'à ce que j'arrive. Discrètement, je prenais possession de l'Ipod branché aux enceintes et commençais à mettre du 'Clash'. Aaaaah ... Tout de suite ça allait mieux et les gens se mettaient à danser. Pour motiver un peu plus les troupes, je m'installais au milieu de la piste de danse et faisais bouger mon majestueux fessier. Autant vous dire que les fêtards non pas tardé à venir me rejoindre. Je m'éclipsais secrètement et me posais près du bar. Boissons à volontés ! Quelle merveille. Voilà. Autant vous dire tout de suite que j'avais bu, et pas qu'un peu. En plus de l'alcool, je venais de fumer quelques pétards, dont je ne vous dirai pas le nombre, plutôt 'bien' dosés. Mais bon, je n'étais pas encore défoncé, le temps que l'effet atteigne le cerveau. Cela mettait plus ou moins de temps, mais pour moi c'était 'plus', j'étais assez 'résistant', puisque maintenant j'étais un 'habitué'.

    Nous descendions du Poudlard Express, moi commençant à devenir blanchâtre à cause de la drogue. Rubeus Hagrid, garde chasse et professeur de soin aux créatures magiques, menait les nouveaux élèves à l'école de sorcellerie la plus renommée au monde. Ces derniers étaient totalement surexcités. Au contraire, moi j'étais plutôt dans les vapes. Je suivais mon frère jusqu'à la Grande Salle. Nous nous asseyions à la table des Gryffondors à côté de quelques amis, qui eux aussi n'étaient pas sobre mais pas autant que moi et encore moins défoncé, et bavardions tranquillement. Lorsque la mère MacGonagall, professeur que j'aimais beaucoup au fond, revint avec les premières années pour leur répartition, je me taisais préférant regarder - enfin ... on peut dire cela comme ça - que de papoter. Entre nous, j'étais vraiment incapable de suivre une quelconque conversation. Mes yeux étaient mi-clos, malgré tout je sentais le regard de la mère MacGo pesait sur moi. Merde. Être dans un tel état en public, surtout devant un professeur qui connait tout de moi, je suis vraiment qu'un crétin des fois.
    À la fin de la petite fête, plutôt un majestueux banquet, Uzziel et moi sortîmes incognito de l'enceinte du château pour se balader au frais. En tout cas, pour moi, j'avais chaud, trop même. Le souffle du vent me caressait le visage et cela faisait beaucoup de bien. J'admirais de loin le Saule Cogneur en pesant : * P'tain ! Il a beau être vieux, c't'un arbre magnifique tout d'même * Et c'est comme cela que je su que j'étais complètement shooté. Dans mon état de demi conscience j'observais mon meilleur ami. Qu'est ce qu'il était beau, vraiment. Des yeux bleu azur écarlate, des cheveux épais d'un noir de jais raide qui tombait devant ses yeux, des petites fossettes toutes mignonnes aux deux coins des lèvres, justement, celles-ci fines et pulpeuse le style de bouche que l'on veut embrasser. Et puis je ne parle même pas de son corps. Franchement, c'était lui qui méritait le statut, ou le surnom selon votre préférence, de 'prince'. C'était un de mes pseudonymes à la con. Je ne préfère pas m'étendre sur le sujet, mais je favorise largement le surnom de 'Woody Woodpecker'.

    Woody – Hé Zyel, c'est où qu'on va ?

    Je savais très bien ce qu'il aurait répondu : "on va dans ton cul de dragon pour y faire la fiesta du siècle". Mais après grande réflexion, si on pouvait appeler ca 'réfléchir' dans l'était où je me trouvais, j'avais quand même décidais de lui poser la question. J'attendais avec appréhension le moment où il allait me répondre, prêt à lui faire bouffer de l'herbe du parc si il me rétorquait la chose dont je m'attendais. Bien que défoncé, j'étais encore à mène de réagir. Heureusement, pour lui, il ne me répondit pas 'cela', à ma grande surprise mais satisfaction.

    Uzziel – Près du lac.
    Woody – T'veux m'noyer ?
    Uzziel – Ouais. Mais je veux d'abord te violer.
    Woody - Si j'suis consentent c'est plus un viole. Et puis j'croyais qu't'aimais pas les 'queues'.

    Nous rîmes en nous dirigeant vers le lac. Pour la petite anecdote, c'est moi qui est dépucelé Uzziel. On ne peut pas dire qu'il est beaucoup aimer. Non que je sois très mauvais au lit, je suis même plutôt très bon sans vouloir me vanter et non je n'ai pas le grosse tête, mais juste parce qu'il ne trouve pas cela très agréable de le faire avec un homme. C'est comme cela que, depuis, il sait qu'il n'aime pas les hommes ni faire l'amour avec. Au contraire de moi, qui n'avais eu aucun sentiment pour les mecs, pour l'instant, mais qui pouvais très bien coucher avec eux. Filles et garçons, dans ce sujet, j'adorais les deux. C'étaient juste de nouvelles expériences et de nouvelles positions.
    Une dizaine de minutes passèrent et nous arrivions enfin au bord du lac, ou plutôt dedans. J'aurai bien voulu reprendre un joint, mais Uzziel me les avait confisqué, prétendant que c'était mieux pour ma santé. Mon cul, ouais. Mais je ne cherchais pas non plus à me battre avec lui pour les reprendre dans sa poche. J'attendais, tout simplement. J'avais de l'eau jusqu'aux chevilles et mon ami jusqu'aux pied. J'avais enlevé ma robe de sorcier, ne pouvant plus la supporter, mais je n'avais pas relevé mon jean. Il était donc aussi mouillé que ma peau, voire plus puisqu'il absorbait le liquide. Alors que j'examinais ma gueule dans l'eau, Uzziel tirait une bouteille de whisky pur feu et buvait au goulot. C'était bien meilleur à la bouteille qu'au verre, croyez en mon expérience. J'avais une sale tête, et cela ne faisait qu'empirer au file du temps. J'étais aussi blanc qu'un linge propre, ou bien qu'un fantôme. Deux grands cernes noires se dessinaient en dessous de mes yeux injectés de sang, le blanc de mes yeux devenu jaune. Ma barbe mal rasée de trois jours. Mes cheveux châtains clairs, qui viraient au blond selon la luminosité et le soleil que ma chevelure a pris, raide et tombant devant mes yeux. Mon haleine fétide et mes dents jaunies. J'avais vraiment une tête de drogué. Normal, puisque je l'étais. La seule chose qui restait à peu près correct chez moi, c'était la pupille de mes yeux. A mon grand étonnement, elles n'étaient pas dilatées et leur couleur de bleu émeraude restait tel qu'elle était à l'origine. Mes pupilles ressortaient de mon visage.
    Alors que j'étais perd dans ma contemplation, Uzziel me tendit son whisky. Bien évidemment, je pris de bon coeur et bu à grande gorgée. Ensuite nous allions nous asseoir 'à l'ombre' d'un arbre. Je trainais lourdement des pieds à cause de mon jean archi trempé. J'avais de plus en plus envie de refumer un bon pétard. Justement, Uzziel était entrain d'en remplir un. Il tira quelques bons coups avant de me le tendre, comme pour le whisky. Malgré moi, je me jetais dessus comme un forcené.

    Uzziel – Haha, tu me fais marrer. T'es vraiment pire qu'un toxico, mec.
    Woody - T'sais c'qu'il t'dit le toxico ?

    Malheureusement, il avait raison, j'étais dans un triste état et je devrais remédier à cela. Mais pas aujourd'hui, ni demain, après-demain. Enfin. Un jour quoi. Après avoir tirais sur le joint avec mon bang, je le rendais à Uzziel et plonger dans l'eau du lac tout habillé.

    Woody - J'crois bien qu'j'suis dans un triste état, mec.
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