flammulae moestum ™
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 Suicide && cie

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2 participants
AuteurMessage
e. christopher wayne
    Woodythe dead life && dance with me

e. christopher wayne


messages : 127
date d'inscription : 27/08/2009
âge : 28
maison ou profession : Gryffondor
animal de compagnie : Un phénix

Suicide && cie Empty
MessageSujet: Suicide && cie   Suicide && cie EmptyJeu 3 Sep - 15:39

    Suicide && cie Icondiehardvp5 Suicide && cie Chace7

    Chris - Putain mais t'peux pas faire attention 'spèce de con ! S'tu veux faire l'imbécile, au moins fait le bien ! Merde !

    Comme vous auriez pu le remarquer, j'étais en colère, très. Ca faisait longtemps que ça ne m'était pas arrivé d'être aussi hors de moi. Je vous explique ce qui s'était passé. Draco Malefoy et la bande de Harry avaient eu un petit différent, il y a plusieurs jours. Ce qui n'a rien d'extraordinaire, je vous l'accorde. j'étais dans les parages et je m'en foutais royalement. Et ouais, je suis un je m'en foutisme professionnel. Même le meilleur du monde, sûrement. Bref. J'avais observé la scène avec amusement, la clope à la bouche, sans rien dire, juste un sourire en coin. J'avais pensé ' il faudra que je fasse aux agissements du p'tit Malefoy'. Ah oui. C'est ce que j'avais fait et j'avais eu bien raison. Je me trompe rarement, voyez-vous. Non, je n'ai pas la grosse tête. Je ne fais que dire la vérité. Bref. Cela faisait plus d'une semaine qu'il préparait un mauvais coup. J'en étais sûr, je m'en étais aperçu, j'avais deviné quoi. Et aujourd'hui il avait décidé d'agir. Je me suis dit que ça pouvait être marrant. En fait, cela avait tourné au désastre. Heureusement que j'étais dans les parages et que je le surveillais. Quand je vous dis que je suis plus puissant que Superman lui même. A vrai dire, je ne sais pas trop ce qu'il voulait faire, mais il a jeté un sort sur une vitre du couloir du septième étage qui donne sur le parc de Poudlard. Mais j'ai tout de suite vu que quelque chose n'allait pas. La vitre a commencé à enfler en attirant dangereusement le p'tit Malefoy vers elle. A ce moment, je me suis jeté sur Malefoy et la vitre a explosé. Je me suis retrouvé avec ma main gauche estropiée, mais rien de plus grave. Sauf que j'étais très énervé, car il avait mis plus de des vies en danger, et que si je n'arrivais pas à me contrôler, j'allais l'envoyer à Sainte Mangouste. Je serrais les poings, respirer profondément en essayant de rester calme. Ma respiration reprit une rythme régulier, et je desserrais enfin les poings. Je saignais abondamment de la main gauche, du verre brisé était venu se planter dans celle-ci. J'observai le p'tit Malefoy d'un oeil attentif et critique. Ce dernier était encore plus blanchâtre que d'habitude et avait eu une peur blanche. Non pas de la vitre mais de moi. Il savait que quand je commençais à cogner cela faisait très mal. Je crois qu'il m'avait déjà vu à l'oeuvre. Je sortis une cigarette de ma poche gauche, essaya de l'attraper avec ma main gauche, étant gaucher, mais la douleure était trop aigue, alors je changeais de main. Je partis sans demander mon reste pendant que le p'tit Malefoy me lançait d'une voix pleine de regret.

    Draco - Tu devrais au moins aller voir Madame Pomfresh !

    Ce que je ne ferai pas, naturellement. Ce n'était pas du tout des mes habitudes d'aller à l'infirmerie. Je ne sais pas pourquoi je n'y allais jamais. C'est pas que je n'aimais pas, c'était juste une question de principe, je crois. Okay, je sais que c'est très con, mais c'est comme cela et puis je ne vous demande pas votre avis, point barre. Ce qui m'étonna, c'est que le p'tit Malefoy ne me demanda pas de rien dire à personne. Il savait sûrement que j'allais le faire de moi-même, le garder pour moi. Ce n'était pas dans mon caractère de dire tout à tout le monde, répandre les rumeurs, j'étais plutôt discret, malgré tout.
    Je tirais une bouffé sur ma clope. Ce n'était pas assez, je voulais plus. Je finis, donc, vite ma cigarette et la jeter sur le carrelage avant de l'écraser avec mon talon. Je sortais alors un joint. Et pas un tout petit. Non non. Un gros balèze. Je ne me sentais pas bien. Oui, certes, cela faisait six ans que je n'allais pas bien, mais aujourd'hui plus encore. Je ne me sentais pas dans mon état normal. Une envie de crier, de pleurer, de m'enfuir montait en moi. Non, il ne fallait pas, ce n'était pas ce que je cherchais. Depuis toutes ces années. Tant d'effort que pour cela ? Non non. Il fallait que je me reprennes. Je tirais sur mon pétard. Aaah. Tout de suite c'était mieux. Mais je savais que ça n'allait pas durer, c'était juste sur le moment et que je devais découvrir un moyen de sortir de cet état.

    (...)

    Nous sommes à la table des Gryffondors, pour le dîner et mon joint terminé, je ne me sentais toujours pas mieux. Pire, c'était pire. Uzziel parlait de faire une fête. Pourquoi pas ? Peut être que ça me changera les idées. Alors après manger, une petite soirée commença dans la salle commune des Gryffondors. Au menu : sex drugs && rock'n'roll. En tant normal, je me serais éclater. Mais là, je me sentais pas bien du tout. Je restais quand même discuter un peu avec les gens. Quand vint l'heure d'aller se coucher, tout le monde alla dans le dortoir, même Uzziel. Moi, je restais assis sur le canapé, la tête entre les mains. Au bout d'un long moment, moi aussi je montais dans mon doirtoir. Mais pas pour dormir. Je pris ma guitare électrique et mon enceinte.
    Dans la Grande Salle, il faisait frai et il n'y avait que quelques faibles lumières. Je me mettais sur l'estrade et commencer à jouer une chanson de 'Mettalica'.

    petite remix de 'nothing else matters' xp

    Citation :
    So close no matter how far
    Couldn't be much more from the heart
    Forever trusting who we are
    And nothing else matters

    Never opened myself this way
    Life is ours, we live it our way
    All these words I don't just say
    And nothing else matters

    Trust I seek and I find in you
    Every day for us something new
    Open mind for a different view
    And nothing else matters

    Never cared for what they do
    Never cared for what they know
    But I know

    So close no matter how far
    It couldn't be much more from the heart
    Forever trusting who we are
    And nothing else matters

    Never cared for what they do
    Never cared for what they know
    But I know

    I never opened myself this way
    Life is ours, we live it our way
    All these words I don't just say
    And nothing else matters

    Trust I seek and I find in you
    Every day for us something new
    Open mind for a different view
    And nothing else matters

    Never cared for what they say
    Never cared for games they play
    Never cared for what they do
    Never cared for what they know
    And I know

    So close no matter how far
    Couldn't be much more from the heart
    Forever trusting who we are
    No, nothing else matters

    A force de jouer de la guitare comme un malade, ma main gauche se remit à saigner. M'en fous, de toute façon j'avais fini mon morceau et je ne crains pas la douleur. Je m'asseyais sur un banc d'une table au hasard. Je ne prenais ni clope, ni joint. Déjà un bon point. Mais mon angoisse était de plus en plus forte. J'avais à présent deviné ce que s'était. Une simple mais grosse crise d'angoisse. C'est chiant les trucs comme ça. Et on n'y peut rien. Faudrait que j'aille voir Madame Pomfresh mais je veux pas. C'est con, je sais, pas la peine de me le répéter sans cesse. N'en pouvant plus, d'un coup je me levais, courais et passais ma tête à travers une vitre, de verre je précise. Je m'étais ouvert le crâne, et pas que. J'avais des coupures partout sur le visage et je saignais à flots. Je perdais trop de sang d'un seul coup. Je ne voyais plus rien, du rouge dégoulinant sur mes yeux bleus azur. Devenant de plus en plus, je m'effondrais sur le sol au milieu de la pièce, baignant dans mon sang. A ceux sang était mêlé un autre liquide cristallin. Des larmes coulaient de mes yeux. pas pour la douleur physique, plus pour la douleur psychologique.

    (J'ai bâclé mais j'espère que ça sera lisible quand même >.<)
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Severus Snape

Severus Snape


messages : 40
date d'inscription : 26/08/2009
âge : 64

Suicide && cie Empty
MessageSujet: Re: Suicide && cie   Suicide && cie EmptyMer 9 Sep - 10:50

    Severus Snape pouvait se targuer de ne pas être un homme patient. Et deux heures de double cours Gryffondor-Serpentard avait largement dépassé son quota de tolérance quotidienne. Combien d’élèves avait-il réussi à faire pleurer ? Deux, trois, quatre ? Il ne les comptait plus. Ils étaient tous tellement ignorants. Ils seraient les premiers à tomber dans la guerre qui s’annonçait. Non pas que Severus y voit fondamentalement un problème. Mais, pour l’heure, Dumbledore l’avait chargé d’inculquer quelques notions à ces crânes vides et il comptait bien prendre son devoir très au sérieux. C’est donc l’humeur au plus bas, découragée par tant de stupidité qu’il se rendit dans ses appartements. Même avoir terrifié plusieurs élèves sur son chemin ne réussit pas à le mettre de meilleur humeur. La rentrée avait à peine commencé qu’il avait déjà hâte d’être en juin. Sa journée avait été épuisante. L’inculture de ces gamins qui se prétendaient adultes le stupéfiait. Ce n’était pas tant la naïveté des premières années que l’égocentrisme des sixième qui l’avait stupéfié. Potter surtout lui était de plus en plus antipathique. Était ce petit imbécile qui était censé terrasser le seigneur des ténèbres ? Il se ferait écraser avant. Sa stupidité n’avait d’égal que son égo. Et bien sur, la miss je sais tout et le Weasley dernière génération n’avaient pas arrangé la migraine qui se profilait. Parfois, il lui arrivait de se demander pourquoi il avait accepté de devenir professeur. Même le fait d’avoir obtenu la défense contre les forces du mal n’avait pas réussi à lui faire apprécier sa position. Au fond, il faisait ça par devoir. Il avait fait une promesse et la tiendrait quoiqu’il advienne. Mais, il n’allait certainement pas faire d’efforts envers les décérébrés qui lui tenaient lieux d’élèves.

    Loin de toutes ces préoccupations futiles, pour l’heure, l’homme s’était confortablement installé dans un fauteuil et buvait un whisky. Il fallait bien au moins ça pour oublier les étalages de stupidités qu’il avait du subir durant toute la journée. Bien sur, il voyait d’ici ce que Dumbledore allait lui répondre si il se rendait dans son bureau « Allons, Severus, ils sont les sorciers de demain. Les instruire est notre devoir. » Et bien, ils étaient mal barrés avec ça. Était ce ces stupides gamins naïfs et sans expérience qui allaient devoir affronter le seigneur des Ténèbres ? Ils mourraient tous et lui se retrouverait encore au milieu. Fichue vie ! Rien n’est plus dangereux qu’un homme stupide. Il l’avait toujours dit. La vie n’était qu’une succession de combats pour continuer à survivre. La vie était injuste, il en avait des exemples flagrants tous les jours. Les vies d’innocents sacrifiés ? Peu importait au fond, c’était la loi du plus fort qui l’emportait. Les idéaux pervertis ? Dégénérescence humaine. L’excès de confiance humain ? Société déjà condamnée. Ils faisaient une fière équipe ces valeureux Gryffondors, brandissant leur étendard rouge et or, le cœur vaillant et l’esprit tourné vers l’action. Et la réflexion ? Il avait encore été le témoin de l’emportement excessif de cette maison durant son cours. Est-ce que Potter n’apprenait jamais de ses erreurs? Erreur qui avait couté la vie au stupide cabot Black l’année dernière ? Non, Severus ne pouvait compter que sur lui-même. Il pouvait obéir à deux maitres, il n’adhérait aux idées d’aucun. Au fond, il ne faisait confiance qu’à lui-même.

    Le maitre des cachots songea un instant à Draco Malfoy. Celui-ci avait été plus que discret durant le cours et il se demanda un instant ou le garçon blond en était de ses recherches. Peut être était ce enfin le moment qu’il attendait. Dans tous les cas, il trouverait peut être le repos à la fin de l’année. severus regrettait ce serment inviolable. Il ne savait même pas ce qu’était la mission que le blond devait accomplir, ou du moins, il ne savait pas comment celui-ci allait s’y prendre pour la réaliser. Il n’avait pas osé l’approcher trop pour le moment et se contentait de l’observer de loin. L’observer et lui montrer qu’il n’était pas loin. C’était le mieux qu’il pouvait faire en cet instant. Le garçon n’était certainement pas au courant de la petite visite de sa mère cet été et il ne comptait pas lui en parler pour le moment. Ce n’était certainement pas nécessaire. Soufflant doucement, le nez pincé, il chercha un moment un scénario plausible afin d’aborder la situation avec lui. Lorsqu’il eut fait le tour de la situation, l’heure du repas était déjà arrivée.

    Le diner à la grande salle fut un calvaire supplémentaire pour l’homme taciturne. Il expédia cette corvée aussi vite que la décence et l’éducation le permettaient. Les bruits alentours lui donnaient envie de vomir. Il ne souhaitait que retourner s’enfermer dans ses appartements et oublier que dès demain, le même cauchemar recommencerait. Pourtant si le brun rêvait d’une soirée tranquille, il fut vite détrompé par la brûlure qu’il ressentit au bras. Sa mâchoire se crispa durement et il serra les dents. Son maitre l’appelait. Voyant enfin une occasion d’échapper à l’atmosphère bruyante et joyeuse, trop joyeuse en tant de guerre, du château, il s’éclipsa. Sans un seul regard pour ses collègues et encore moins pour les cornichons d’élèves, il s’échappa par une porte dérobée. Les couloirs étaient presque déserts et cela permis au professeur de se recomposer un visage totalement neutre. Ses compétences en occlumentie étaient toujours mises à rude épreuve lorsqu’il avait rendez vous avec son maitre.

    Une heure et quelques courbatures plus tard, le directeur des Serpentards rentrait relativement indemne de la réunion. Cela aurait pu être pire. Les doloris étaient devenus comme une seconde nature pour lui et même si son corps accusait le coup plus durement au fil des années, il était relativement en bon état après un réunion avec ses collègues mangemorts. Certains n’avaient pas eu une telle chance mais il n’allait certainement pas les plaindre. Sa place de choix au château lui assurait une relative sécurité. Naturellement Draco n’avait pas été présent à la réunion et il ne faisait aucun doute qu’il avait du souffrir si il avait été marqué. Malgré cette réunion, Severus n’avait pas réussi à apprendre beaucoup plus de choses au sujet des plans du lord. Il devrait néanmoins se rendre chez Dumbledore comme toujours. Fichue vie !

    En passant les portes du château, Severus su immédiatement que quelque chose d’anormal s’était produit. Ses réflexions d’espion étaient plus aiguisés que la moyenne. Et les mauvaises langues avaient beau dire que son nez était immense, il lui permettait d’avoir un odorat beaucoup plus développé que la moyenne. C’Est-ce qui lui permis de sentir le sang. L’odeur métallique reconnaissable entre toutes suintait entre les murs du château. Fronçant les sourcils, il se dirigea vers la pièce qu’il pensait être source de l’odeur, la grande salle. Ça ne pouvait pas être un élève. Les aurors avaient envahi le château et aucuns digne de ce nom n’aurait laissé un élève violer le couvre feu. Malgré tout, Severus gardait cette observation pour lui. Les aurors avaient mainte fois démontré leur inefficacité par le passé. Prudent, il sortit néanmoins sa baguette et se dirigea vers la pièce la plus grande du château. Si tout d’abord, ses yeux ne distinguèrent rien de concret, Severus finit cependant par apercevoir une silhouette au sol. Il s’avança d’un pas rapide, sa cape flottant derrière lui avec sa grace coutumière. D’ici, il n’apercevait pas la personne, mais s’il s’agissait d’un auror, une attaque était à craindre. Les hypothèses les plus folles défilèrent dans sa tête, attaque surprise, trahison découverte…

    - Lumos.

    Le murmure avait troublé le silence pesant et dérangeant qui flottait. Sitôt que la lumière vint éclairer le sol, les éclats accrochèrent immédiatement un uniforme de Gryffondor. Qu’Est-ce que ces imbéciles avaient encore pu inventer ? Était ce une vengeance ? Ou peut être un suicide ? Snape finit par reconnaitre la source de ses problèmes et il haussa un sourcil, surpris de voir ce garçon entre tous couvert de plaies et de sang. Il ne rêvait que de rentrer dans ses appartements et la pensée subtile mais brève de laisser l’élève dans cet état lui effleura l’esprit. Pourtant, il décida que ce serait mauvais pour lui si Dumbledore venait à découvrir qu’il avait laissé un élève en fâcheuse posture. C’était un Gryffondor oui mais quand même. Soupirant légèrement, il s’agenouilla difficilement vers l’élève et entrouvrit ses lèvres pour lui faire avaler une potion. En tant que maitre des potions et surtout très prudent, vu son double jeu, Severus avait toujours une batterie de potions sur lui quelque soit la situation. Il se décida pour avaler un décontractant musculaire pour soigner ses muscles endoloris et regard le breuvage agir sur le corps du garçon allongé. Il pleurait et il se demanda un instant si le scénario d’une vengeance surprise n’était pas réellement le bon. Il aurait très vite les réponses à ses questions puisque la silhouette commençait déjà de s’agiter.
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